lundi 30 septembre 2013

ECOUTER

Écouter, c'est entendre la terrible absence, et donner de quoi vivre.
                 Maurice  Bellet

samedi 28 septembre 2013

LE SEIGNEUR N'EST PAS DANS LE DOGME....ARTICLE MAURICE BELLET

 Il y a bien des années, je me trouvais prêtre de garde, comme on disait, dans une grande paroisse de Paris. On voyait de tout. Un jour, je vis venir à moi une pauvre petite prostituée. Je me souviens encore de son nom : Anne-Marie. Elle me dit qu’allait partir pour un bordel d'Afrique du Nord. Je la mis en garde. C'était bien inutile ; elle savait qu'elle partait pour l’horreur et la mort.
    « Mais, me dit-elle, la fille qui devait y aller a un enfant. Il faut qu'elle puisse s'occuper de son enfant. Alors, je pars à sa place. »
    Seigneur Dieu!
    Peut-être était-ce l'instinct suicidaire, le masochisme, la culpabilité morbide, je ne sais quoi. Mais peut-être était-ce vrai. Et peut-être les deux.
    Qui d'entre vous, bonnes gens, prendra la première pierre ? Et même, bonnes gens, qui d'entre vous aura quelque chose à dire ? Et quoi ?
    Je crois, ou plutôt je sais, qu'il y a des êtres humains (j’en ignore le nombre) qui vivent la sainteté du Dieu de Jésus Christ hors des chemins tracés, hors de toute loi, dans les abîmes,  dans le monde froid, dans le fond de la mer. Pour qui ne pas se tuer (les pilules sont sous la main) est minute à minute un acte de foi dont l'héroïsme pourrait faire pâlir bien des héros de la foi. Pour qui ne pas céder au désir compulsif, frénétique, fou, ou le retarder un peu, demande un courage, un amour, une vertucent fois plus grands qu'à d'autres le maintien
tranquille d'un célibat heureux. Pour qui ne pas désespérer de Dieu, ne pas vomir le Christ et rester là, muets, immobiles, dans l’attente impossible que la parole aimante renaisse de ses cendres, est un amour de Dieu sans goût et sans consolation, mais plus fort que la mort où ils sont.
    En retour, il y a quelque chose qui demeure incompréhensible chez beaucoup de croyants : c'est leur dureté. Je ne parle point ici des hypocrites ; je parle des gens qui ont, autant qu'on puisse savoir, une foi sincère, un désir réel du bien, voire une conscience chatouilleuse et des engagements coûteux au service de Dieu et des hommes.
    Comment peut-on être riche, riche à crever, et savoir que cette richesse provient tout droit du sang des pauvres, et aller à la messe, et se confesser « j'ai eu de mauvaises pensées »)
et défendre crânement la vraie religion contre ses adversaires ? Comment peut-on être théologien, et bon théologien, être écouté et faire du bien, et crever de jalousie envers les collègues, et soupçonner l'orthodoxie des autres, et ne concevoir sa propre grandeur que dans l'abaissement d'autrui ? Comment peut-on être dévoué, donné, consacré 24 h sur 24, et être incapable d'entendre, fermé impitoyablement à la douleur réelle d’autrui, à sa demande réelle, et opposer à la vérité des gens l’implacable savoir du bien ? (2)    Ainsi y a-t-il d'un côté ces dévoyés, ces pauvres fous, ces gens de péché qui, dans leur errance, peuvent témoigner du Dieu vivant et de l'autre ces gens de bien qui peuvent être pris sans même le voir dans les filets du Mauvais.


Maurice Bellet-extrait article- site officiel

mercredi 25 septembre 2013

MAURICE BELLET EXTRAIT- LA VIEILLESSE


Rogier van der  Weyden- Roger de la Pasture-détail
Si quelqu’un du fond du cœur désire aimer
toujours mieux et toujours davantage
et sans exclure personne,
il peut dire qu’il se trompe de chemin et s’égare,
mais il est impossible qu’il se perde.
Quels que soient ses malheurs, ses fautes et ses échecs,
dans le grand combat des humains contre la mort
et contre les puissances meurtrières -
il a gagné.

              Comme je disais à un ami plus jeune que j’allais vous dire ça, il m’a répliqué : surtout pas, ça fait chrétien à fond, naïveté de vieux qui ne se résigne pas ! Et moi je songeais, amicalement : pauvre cher imbécile, tu ne sais pas de quoi je parle. Ni où je parle. Je parle dans ce lieu où on ne rigole plus du tout, où les jeux de la concurrence et de la compulsion ont perdu toute consistance. On est sous la lumière de la mort, camarade !
                Et à cette approche-là, vanité des vanités, tout est vanité - sauf la chose qui demeure : l’amour, le grand amour, celui qui veut tout, espère tout, pardonne tout, celui que les premiers disciples nommaient d’un nom à peu près intraduisible, agapè, la très haute et très humble tendresse. http://www.mauricebellet.eu/v1/index.php?option=com_content&task=view&id=49&Itemid=12

Maurice Bellet- très bel article pour les seniors


lundi 23 septembre 2013

AMOS: D'UNE ACTUALITE ETONNANTE !


Michel Ange-chapelle Sixtine
Écoutez ceci, vous qui écrasez le pauvre pour anéantir les humbles du pays, car vous dites : « Quand donc la fête de la nouvelle lune sera-t-elle passée, pour que nous puissions vendre notre blé ? Quand donc le sabbat sera-t-il fini, pour que nous puissions écouler notre froment ? Nous allons diminuer les mesures, augmenter les prix, et fausser les balances. Nous pourrons acheter le malheureux pour un peu d'argent, le pauvre pour une paire de sandales. Nous vendrons jusqu'aux déchets du froment ! »
Le Seigneur le jure par la Fierté d'Israël : Non, jamais je n'oublierai aucun de leurs méfaits. » 


Phrophète  Amos, 8

dimanche 22 septembre 2013

Les anges, avec Annick de Souzenelle

Extrait lu de "Plus loin qu'ailleurs"

Laure Adler reçoit Christian Bobin

NOUS SOMMES LES ABEILLES DE L'INVISIBLE

Nous sommes les abeilles de l'invisible. Nous butinons éperdument le miel du visible pour l'accumuler dans la grande ruche d'or de l'Invisible. » 
                            RILKE

LÄCHER PRISE




Lâcher prise c'est renoncer à vouloir tout contrôler,
à vouloir le bien de l'autre, c'est renoncer à prouver
quoi que ce soit, c'est accepter que l'autre est autre
et que moi-même je suis ce que je suis et non pas
ce que j'avais rêvé d'être.
Lâcher prise c'est c'est cesser de faire le procès de la vie
qui ne nous donne pas ce que nous en attendions

A partir du moment où l'on peut lâcher prise
où l'on ne désire plus être heureux à tout prix
on découvre que le bonheur
c'est cette capacité à garder les mains ouvertes
plutôt qu'agrippées
 sur ce que nous croyons nous être indispensables

R. Poletti

CONTE POURQUOI LES ARBRES CHANGENT DE COULEUR EN AUTOMNE

Pourquoi les arbres changent de couleurs en automne ?

Il était une fois une époque où les feuilles des arbres ne changeaient pas de couleurs en automne : elles tombaient sur le sol et restaient vertes. 
Tout comme le ciel, les gens devenaient maussades avec l’arrivée du froid.
Il y avait une petite fille qui n’échappait pas à la règle….
En se promenant dans son petit bois préféré, elle se demandait pourquoi elle était si triste.
Les arbres de ce bois s’inquiétaient beaucoup en voyant un tel chagrin dans les yeux de la fillette. Ils avaient eu le temps d’aimer son rire, les étincelles dans ses yeux, ses promenades pensives.
Alors, un jour, une fois que la petite fille fût repartie vers sa maison, ils commencèrent a examiner la situation : « Qu’arrive-t-il à notre jolie petite amie ? Que pouvons-nous faire pour l’aider ? ». Les bouleaux, les trembles, les tilleuls bruissaient fort, chacun émettant ses hypothèses et exposant son raisonnement :
-Si elle est triste, c’est peut-être à cause du froid ? se demandaient les bouleaux.
-Non, non, elle a mis un manteau chaud et son bonnet, répondaient en choeur les sorbiers .
Le tremble demandait d’un air pensif : « C’est peut-être parce que nous perdons nos feuilles ? ».
Mais elle aime beaucoup marcher sur le tapis vert et doux que nous déroulons pour elle, objectaient d’autres arbres.
Et ainsi, ils examinèrent la question sous toutes les coutures, mais ils n’arrivèrent pas à trouver de réponse.
Finalement, fatigués par tout leurs bruissement, ils décidèrent de s’adresser à l’arbre le plus sage de la forêt, le vieux chêne.
Le chêne sourit et dit :
-J’ai écouté très attentivement toute votre conversation et je suis ravi de voir que vivent autour de moi des arbres aussi bons et généreux, qui se soucient des gens - de notre petite amie en l’occurrence. Et…. il m’est venu une idée : pourquoi ne pas peindre nos feuilles de couleurs différentes - rouge, jaune, orange, marron, quand vient l’automne ? Lorsque le ciel devient triste et maussade, le soleil se fait rare. Mais nous pouvons nous peindre nous-même et recouvrir le sol des couleurs du soleil - jaune vif et rouge chaleureux. Qu’en pensez-vous ?

Les arbres, étonnés par tant de sagesse, agitèrent joyeusement leurs branches et leurs feuilles, pour saluer la simple et bonne idée du grand-père Chêne. Ils décidèrent de changer leurs couleurs sans perdre de temps.
Le lendemain, quand notre fillette sortit dans la rue, elle vit que tous les arbres et la terre étaient inondés de soleil. Eclatant d’un rire joyeux, elle se précipita vers le petit bois, puis en riant, elle courut entre les arbres, soulevant de ses pieds les rayons du soleil de la terre, comme des milliers de gerbes d’or.
Les arbres se regardèrent en souriant.


Par Bunni- Contes d'ici etd'ailleurs-site acrostiches

lundi 16 septembre 2013

LA PETITE PEUR-EXTRAIT DE CONTE

Le monde n’est-il par une heure pour nous, une heure contre

 nous ?


Et puis, quoi, c’est notre monde ...  

Ainsi a procédé la petite peur, doucement, gentiment


, bousculée par le ventre qui voudrait lui donner des ailes
.
  Un jour, une veille de pleine lune, dans une inspiration

 d’audace plus profonde que les autres, elle est sortie ...  

Et le ventre s’est étiré, étalé, a repris ses aises ...  

Oh, elle revient bien de temps en temps se blottir au creux 


des entrailles

, la petite peur, on ne s’arrache pas si facilement 

aux vieilles habitudes, c’est difficile de ne jamais se retourner
,
 mais c’est pour mieux repartir encore, avec à chaque fois

 une confiance plus grande basée sur l’expérience.  

Je sais de quelle petite peur il est question dans cette histoire


 mais ne comptez pas sur moi pour vous donner son nom

, étaler sa vie sur la place publique, ce n’est pas mon genre ...  

Ce dont je suis sûre, c’est qu’elle a bien fait de partir.  

L’autre jour, un ami, un têtu, me prétendait mordicus que son


 ventre n’avait jamais abrité ce type de petite peur, de type ‘je

 n’oserai jamais’.  J’en doute.  

Et vous, le soir, quand vous êtes allongé dans votre lit et que


 tout est calme, n’avez-vous jamais entendu dans ces zones

 (montrer le ventre) des bruitages incongrus, des glouglous,

 des gargouillis plus ou moins harmonieux ?  

Le ventre et la peur conversent, discutent, et parfois même


 se disputent !  

Le monde n’est-il par une heure pour nous, une heure contre


 nous ?

Et puis, quoi, c’est notre monde
 ...
La vie, ça n’est jamais ni si bon ni si mauvais qu’on 


croit.


contes d'ici et d'ailleurs- acrostiches

mercredi 11 septembre 2013

POURQUOI ON TIRE AUTANT LA GUEULE EN CE BAS MONDE?


«Pourquoi on tire autant la gueule dans

 ce bas monde?»


La crise continue certes, la vie est dure bien sûr mais à quoi bon en rajouter une couche en sombrant dans un climat de morosité et d’agressivité? Etre à l’aise avec l’autre n’est pas si aisé. Demeurer joyeux dans la solitude, non plus.
 Souvent, on trimbale ses complexes et

 ses peurs au milieu de la foule.


On se fuit sans jamais se débarrasser de ce qui nous tourmente. Demeurer seul dans sa chambre, ne rien faire, relève d’une corvée voire carrément d’une insupportable torture pour qui n’a pas rejoint la paix au cœur de son être. De là à tenter d’échapper à soi-même en
 rampant vers les autres, il n’y a qu’un

 pas et il est, ma foi, vite franchi.

Tant d’aigreur et tant de méchancetés trouvent leur origine dans l’incapacité quasi congénitale d’être, pour soi, de bonne compagnie. Il ne s’agit pas de se précipiter dans le culte de son petit ego mais plutôt d’apprendre à cohabiter paisiblement avec ses faiblesses,
 cesser de craindre ses blessures pour
 commencer à s’envisager avec un peu  de douceur.

Alexandre Jollien

lien: phytospiritualité-acouphene

LE BONHEUR AU MASCULIN ET FEMININ


L'homme et la femme ne donnent pas le même sens au mot bonheur.
Ils s'en font une idée différente de sorte que beaucoup de conflits psychologiques chez l'homme comme chez la femme,
proviennent du fait que les routes du bonheur masculin et féminin ne sont pas parallèles.
Le bonheur de la femme présente un caractère immédiat
et concret, il ne peut être différé sans souffrance: tandis que
le bonheur de l'homme présente un caractère plus lointain
en quelque sorte négatif et abstrait.
L'homme éprouve une sensation de bonheur tant que les choses vont à son gré,marchent à son idée.
la femme est heureuse par l'amour manifesté, par la tendresse.
Elle est faite pour se charger du bonheur positif du couple.
L'homme recherche instinctivement une femme qui possède
l'art d'être heureuse et qui par son propre bonheur soit capable de lui apporter la joie de vivre.
La femme est heureuse lorsque l'homme qui l'aime et la comprend se mêle à sa vie intime en faisant jouer le clavier
émotionnel et sentimental qui témoigne de la sensibilité affective féminine.
La femme peut atteindre le bonheur qu'elle souhaite
 à la condition de ne pas demander à l'homme l'impossible,
de ne pas oublier que le bonheur masculin a toujours quelque chose de cérébral et que c'est à l'ardeur contenue que l'on reconnaît, chez l'homme,le véritable amour.

Jean Brun



lundi 9 septembre 2013

SAINT AUGUSTIN

Seigneur notre Dieu,
GIOTTO
À l’abri de tes ailes nous espérons, 

protège-nous et porte-nous !
Tu nous portes, Seigneur,

Tu nous portes dès la jeunesse

Tu nous portes jusqu’au cheveux blancs.
Lorsque tu es notre fermeté, elle est fermeté

Quand elle est de nous, elle est infirmité.
Près de toi vit toujours notre bien,
et c’est pour avoir quitté cette voie

que nous nous sommes fourvoyés.
Seigneur, revenons désormais à cette route
pour éviter notre déroute, 
car près de toi vit sans défaillance 
notre bien, que tu es toi-même.

Saint Augustin d'Hiponne

samedi 7 septembre 2013

IL N'Y A PAS DEUX MONDES

Il n'y a pas deux mondes, le monde physique et le monde spirituel ; il n'y en a qu'un : le Royaume de Dieu « sur la terre comme au ciel » (Mt 6,10).

Beaucoup d'entre nous disent en priant : « Notre Père qui es aux cieux ». Ils pensent que Dieu est là-haut, ce qui enracine l'idée d'une séparation entre les deux mondes.

Beaucoup d'Occidentaux aiment distinguer la matière de l'esprit.

Mais toute vérité est une et la réalité aussi.

Dès que nous admettons l'incarnation de Dieu, qui pour les chrétiens se réalise dans la personne de Jésus Christ, nous commençons à prendre les choses au sérieux.

Bienheureuse Teresa de Calcutta (1910-1997), fondatrice des Sœurs Missionnaires de la Charité
A Simple Path (trad. Un Chemin tout simple, Plon, Mame 1995, p. 69)
lien : seraphim overblog.com  Béthanie voir lien sur mon blog.

QUAND ON S'EVEILLE...

Quand on s'éveille enfin à la claire compréhension
Et que l'on sent qu'il n'y a aucune frontière
Qu'il n'y en a jamais eu
On se rend compte qu'on est tout.
Les montagnes, les rivières,
l'herbe,les arbres,le soleil,la lune,les étoiles
Et l'univers enfin ne sont rien d'autre que nous-mêmes.
Rien ne nous distingue
Rien ne nous sépare les uns des autres.
L'aliénation,la peur,la jalousie,la haine
Sont évanouies.
On sait en pleine lumière
Que rien n'existe en dehors de soi
Que par conséquent rien n'est à crainde
Etre conscient de cet état
Engendre la compassion
les gens et les choses
ne sont plus séparés de nous
mais sont au contraire
comme notre propre corps

Gempo Sensei

LE ROYAUME DE DIEU EST EN VOUS-MÊMES

Saint Luc

vendredi 6 septembre 2013

Phytospiritualité: Un petit conte de Jacques Salomé

Phytospiritualité: Un petit conte de Jacques Salomé: Okinestha,  La petite fille qui était ce qu'elle était  (11 min.)

LA COSMOLOGIE CHINOISE DU YANG ET DU YIN


La cosmologie chinoise est fondée sur l'idée du Souffle à la fois matière et esprit.
A partir de cette idée du Souffle,les premiers penseurs ont avancé une conception unitaire
et organique de l'univers vivant Où tout se relie et se tient. Le Souffle primordial assurant l'unité originelle
continue à animer tous les êtres les reliant en un gigantesque réseau d'entrecroisements et
d'engendrement appelé le TAO, la VOIE....

Le Souffle primordial se divise en trois types de souffles qui agissent en collaboration: le SOUFFLE YANG
le SOUFFLE YIN et le SOUFFLE DU VIDE MEDIAN.Entre le Souffle YANG puissance active et le souffle YIN, douceur réceptive, le Souffle du Vide Médian qui tire son pouvoir du Vide originel a le don de les entraîner dans l'interaction positive, cela en vue d'une transformation mutuelle, bénéfique pour l'un et pour l'autre.

François Cheng (académie française)
Cinq méditations sur la beauté p74

jeudi 5 septembre 2013

UN SEUL DIEU ?

Il y a un abîme entre affirmer::"Il n'existe qu'un Dieu-ce qui serait d'évidence une contre-vérité-et dire
ce que proclament Moshé et les prophètes:"Les Elohims sont Un, les dieux sont UN" Ce Un qui pour Moshé
a NOM: YAHVE, dont la vertu majeure est d'être l'ELOHIM des ELOHIM

ANDRE CHOURAQUI éditions du Rocher p 440

lundi 2 septembre 2013

LAO TSEU

Celui qui se grandit et se met sur les pointes
ne tient pas l'équilibre
Celui qui marche à grand pas
ne tient pas la distance .

Celui qui veut briller n'éclaire pas longtemps.
 Celui qui se met devant n' impressionne pas.
Celui qui se vante de ses gloires en perd tout mérite.
Celui qui se celèbre ne sera pas reconnu
Lao tseu

dimanche 1 septembre 2013

TAGORE

Le voyageur doit frapper à toutes les portes avant de trouver la sienne.Il faut avoir erré à travers le monde pour atteindre enfin l' intime connaissance de soi.                                                                         Tagore

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