jeudi 29 mai 2014

NOTRE BELLE NATURE-VIDEO

Signe dans la Bible : Vidéo de lancement !

Dieu existe les preuves mathématiques : une vidéo pour les athées

Dieu existe les preuves mathématiques : une vidéo pour les athées

Dieu existe les preuves mathématiques : une vidéo pour les athées

DIEU? Existe-t-il? Réponse simple et logique en 50 secondes.

APPRENDRE A VOIR LE DIVIN

Apprendre à rester calme, à être présent au monde, à se nourrir de l'instant sur sa chaise au 

soleil ou dans une file d’attente sous la pluie, c’est accessible à chacun et cela s’apprend. Ces 

petits outils que sont le travail du souffle ou de l'attention ouvrent à l’univers de la 

contemplation. Et dans cet univers, il y a de fortes chances pour que vous croisiez le divin et 

que vous perceviez quelque chose du mystère de la transcendance. En faisant l'effort de 

contempler sa vie, on apprend à mieux en discerner les grâces. 

Christophe André

ASCENSION

FRA ANGELICO
Le Seigneur ne vous laisse pas orphelins : il

reviendra vers vous, alors votre cœur

 connaîtra la joie.

mardi 27 mai 2014

L'ESPRIT SAINT: C'EST QUI?

Metropolitan Museum - NewYork
L'humanité d'aujourd'hui est à bout de souffle... Pour être «dans le vent» on se tourne vers l'Extrême-Orient, les guérisseurs, les pouvoirs occultes et tous les bonheurs artificiels, alors que ce que nous cherchons respire par toutes nos fibres : l'Esprit de Dieu, qui anime la création tout entière.
Mais peut-être, comme certains disciples du Christ, « n'avons-nous même pas entendu dire qu'il y a un Esprit-Saint»? (Ac 19,2) Nos oreilles ont certes entendu son nom plus d'une fois, mais que notre être tout entier, du plus profond de lui-même, ait été retourné par sa Présence impétueuse, jusqu'à nous transformer de fond en comble et inaugurer en nous une nouvelle étape de notre existence, rares sont ceux qui l'ont « entendu » ainsi... Et pourtant, c'est là l'œuvre de l'Esprit qui agit toujours avec puissance quand un homme le prend pour Locataire !
S'il en est ainsi, n'est-ce pas alors que « le but de la vie c'est l'acquisition de l'Esprit-Saint» selon le fameux adage de saint Séraphin de Sarov ? Rien n'est donc plus important que d'apprendre à le connaître et de se soumettre à son action, pour qu'il tire le meilleur de nous-mêmes et nous fasse naître à des horizons nouveaux et inconnus : la Vie Divine...
Dans l'Esprit, Dieu franchit son infinie transcendance pour se faire infiniment proche. L'Esprit-Saint n'a pas de nom puisque le Père et le Fils sont également esprit et saints, mais Il est cette Personne étrange et mystérieuse qui se nomme en toute chose et à travers tout visage. Il est l'intériorité la plus intérieure en nous, la Vie de notre vie, le Souffle de notre souffle et toute la vie «spirituelle», c'est-à-dire selon l'Esprit, consiste à en devenir de plus en plus conscients.
lettre de Béthanie- mai 2014

IdS (17) - Monteverdi: Sì dolce è 'l tormento - Jaroussky (Pluhar) (+pla...

vendredi 16 mai 2014

Mon chant d'aujourd'hui - Michael Lonsdale (2013)

CONTE- DIS GRAND-MERE

Dis Belle Maman, raconte moi une histoire ... 



" Le conte de la grand-mère qui inventa un mot nouveau et rare"

Grand-mère ! dit le petit garçon, apprends-moi des mots neufs. Des mots encore plus beaux que ceux d'hier, plus beaux que ka-léi-dos-co-pe, plus rigolos que ceux qui font des bruits comme cla-po-tis, chu-cho-te-ments... Encore, grand-mère, encore ! La vieille femme sourit. Le temps est venu, se dit-elle. Il est prêt !

Oui, j'ai un beau mot pour toi. Je vais t'aider à le trouver...

Oh ! oui, j'adore les devinettes, dit l'enfant en sautillant.

Voilà. C'est un mot qui contient les plus belles valeurs du monde...Un mot qui est présent en toi et tout autour de toi si tu sais le ressentir.

C'est facile ! c'est...la Vie ! Ce qui est présent en moi et tout autour de moi, c'est la Vie !

Oui bien sûr, il y a de la vie dans ce mot, d'abord de la vie. De la vie vivante, toute joyeuse. De celle qui chante dans tes oreilles chaque matin, avant même que tu ouvres les yeux. Un élan de vie qui te fait dire en regardant le ciel chaque jour : Merci pour ce bleu. Tant mieux pour cette pluie, la terre a soif. Quel vent ce matin ! ça nettoie tout le ciel, mais fermez un peu les portes en haut, ça fait courant d'air ! Un mot qui peut dire l'élan, la fougue, l'enthousiasme. Imagine-toi grimpant vers le haut d'une colline. Tu es presque au sommet, c'est tout clair, c'est tout rond d'herbe verte. Tu marches, il y a l'air vif qui souffle à tes oreilles, tout autour s'étend à perte de vue l'immensité du paysage. C'est tellement beau que tu en as le souffle coupé. Ton cœur déborde presque. Tu te sens fort, grand et petit en même temps, léger comme un oiseau, tu te sens aussi libre que le vent. Tiens, tu pourrais t'envoler, être le vent toi-même...

C'est le bonheur, grand-mère ?

Il y a du bonheur dans le mot, oui, mais cherche encore... Quand tu mets du bon dans tout ce que tu fais, quand tu sais ouvrir tes yeux pas seulement pour voir, mais pour regarder, alors tu peux t'émerveiller de tout et d'un rien, du gazouillis d'une mésange, d'un sourire reçu, de la force du brin d'herbe qui pousse dru dans le bitume du trottoir, de la lumière d'or des étoiles. Quand une fleur devient le plus beau des bouquets du monde, que ton regard se fait caresse pour dire en silence toute ton émotion, quand tu accueilles les bras qui t'aiment et que tu est si plein de désir et d'amour que tu rayonnes comme un soleil...


J'ai trouvé, j'ai trouvé, c'est Soleil d'Amour ! C'est un petit nom que tu me donnais, grand-mère, quand j'étais petit !

Oui, tu es ce soleil-là et il y a de l'amour dans ce mot, mais cherche encore, cherche... C'est un mot qui te dit aussi d'avoir du courage, même quand il y a du gris dans ta vie. Un mot lucide qui n'exclut pas les peines et les difficultés. Un de ceux qui te permettra aussi de trouver toi-même dans chaque évènement difficile, le petit bout de ciel bleu, l'infime lumière qui te redonnera confiance en toi, et surtout en la vie qui est en toi.

C'est l'espérance !

Tu y es presque, continue, continue... Un mot qui contient la Vie, la Joie, l'Enthousiasme, la Tendresse des petits bonheurs, le Courage, le Désir, l'Amour, la Confiance, l'Espérance !

Il existe, grand-mère, ce mot qui dit tout ça à lui tout seul ?

Oui, mon petit... C'est le mot Vivance. C'est la Vivance dans la vie !

C'est un joli mot Vivance, grand-mère !

Murmure-le, écoute-le... Tu l'entends rire dès que tu le prononces...

Vivance !

C'est un mot précieux, tu sais...

Un mot près-des-cieux ?

Oui, dit-elle en souriant. Il vient certainement du ciel, peut-être même du pré-des-cieux... C'est un mot si précieux qu'il est mon héritage pour toi ! C'est qu'il me vient de loin, tu sais, de mon enfance, de ma maman à moi, de mon histoire... Il vient de toute ma lignée et je te l'offre aujourd'hui car le temps est venu... Cette Vivance, elle est la force vive qui donnera plus de vie à ta vie. Je la dépose en toi comme une graine pour qu'elle germe, qu'elle éclose, qu'elle resplendisse, qu'elle fructifie, afin qu'un jour toi aussi tu puisses à ton tour la transmettre à d'autres, à ceux que tu aimeras, que tu aideras, que tu accompagneras... Ouvre la bouche, tire la langue, ferme les yeux, mon petit Soleil d'Amour...Et...hop ! dit la grand-mère, en riant, la graine de Vivance est en toi ! N'oublie pas, c'est pour toute ta vie. La Vivance de la vie, c'est le plus beau cadeau que tu puisses faire à ta propre vie.

J.S.- site contes et d'ici et d'ailleurs

 
 Journalisée

RADAGORE LE CHAT

Elle grandit... une petite fleur blanche au milieu du désert.
Le problème avec les adultes c'est qu'ils ne sont pas des adultes
et qu'ils ne sont plus des enfants.
On ne peut rien leur confier.
Heureusement qu'il ya Radagore.
Radagore est un chat à qui on peut tout raconter.
Il comprend, il apaise.
C'est un ami qui existe quand on veut,
quand on ferme les yeux et qu'on compte jusqu'à cinq.
Il saute sur vos genoux, léger comme un rayon de soleil.
Si l'on ouvre les yeux, il disparaît.

Christian Bobin- La femme à venir p 31 -Folio

jeudi 15 mai 2014

LE TEMPS - CHRISTIAN BOBIN



A vingt ans on danse au centre du monde.
A trente on erre dans le cercle.
A cinquante on marche sur la circonférence
évitant de regarder vers l'extérieur comme vers l'intérieur.
Plus tard c'est sans importance
privilège des enfants et des vieillards
On est invisible.

Christian  Bobin- la femme à venir- Folio p21

Michaël LONSDALE Prière Padre Pio

LA REALITE UNIQUE

Il ne fait pas de doute que l’individu perd tout sens de séparation d’avec l’Un et vit une unité totale, mais cela ne  signifie pas que l’individu n’existe plus.
De même que chaque  élément de la nature est un reflet unique de la Réalité unique, de  même chaque être humain est un centre de conscience unique dans la conscience universelle.
Bede Griffiths, The Marriage of East and West

mardi 13 mai 2014


La chose la plus extraordinaire de l'Univers... par rikiai

PSAUME 5O


8 Tu aimes la vérité au fond des êtres.
Initie-moi aux secrets de Ta sagesse.
9 Purifie-moi et je ferai peau neuve.
Lave-moi et je serai blanc comme de la neige.
Psaume 50-(51)

lundi 12 mai 2014

LE BON BERGER- SAINT JEAN


 Ses brebis à lui, il les appelle chacune par son nom, et il les fait sortir. Quand il a conduit dehors toutes ses brebis, il marche à leur tête, et elles le suivent, car elles reconnaissent sa voix. Jamais elles ne suivront un inconnu, elles s'enfuiront au contraire loin de lui, car elles ne reconnaissent pas la voix des inconnus. »

Saint Jean 10, 1-10

DIRE MERCI



Dire « merci », c'est repérer l'empreinte des dons reçus dans la journée. La spiritualité, ici, est reconnaissance, lucidité, attention à ce qui est. Loin d'accumuler les expériences, ce qui compte, c'est goûter ce que ce jour m'a apporté. L'art de la joie réside dans cette ouverture et cet accueil. La gratitude ose un « oui » à l'existence, un « oui » à ce que je suis. Elle sait nous ouvrir à la nouveauté. Il y a dans le « oui » et le « merci » un acte profondément religieux. Sans eux, nul -contentement n'est accessible. Sans eux, je ne reçois rien. Même un plaisir matériel devient spirituel pour l'esprit reconnaissant. Maître Eckhart donne une indication qui élargit encore cette pratique. Il invite à bénir le Seigneur pour les dons récoltés aussi bien que pour les prières non exaucées. Parce qu'il ne s'agit pas de réduire la gratitude au simple règne de l'intérêt. Précisément la reconnaissance tient aussi de la confiance : je rends grâce pour la journée et ses épreuves que je ne comprends pas. J'ose ce saut dans l'abandon.

Alexandre Jollien

PENSEE- PEGUY


« "Celui qui est dans ma main comme le bâton dans la main du voyageur, celui-là m'est agréable", dit Dieu. 
    
                                PEGUY

Natalie Saracco, la vie en sursis (NDE)

dimanche 11 mai 2014

CONTE- LEON LE RAT DE BIBLIOTHEQUE

La famille s’était installée dans le bâtiment, il y a bien longtemps.

Léon se souvient de ses jeunes années, quand lui et ses frères couraient dans les rayonnages, et après avoir effrayé quelques visiteurs, se réfugiaient dans les coins les plus reculés, où la lumière avait du mal à passer.

Il aimait grimper sur les étagères les plus hautes.

Elles étaient très poussiéreuses, mais il pouvait avoir une vue d’ensemble des tables, qui à une époque étaient couvertes de livres et encyclopédies consultés par une jeunesse avide de connaissances.

A la mort de ses parents, pris au piège dans les caves, le reste de sa famille avait déménagé. Ses sœurs étaient parties pour l’opéra, ses frères vers les égouts de la ville, et ses cousins et cousines à la campagne.

Léon se plaisait dans cette bibliothèque et puis, il n’y était pas seul, il avait une amie, Mademoiselle Angèle !

Il se souvenait d’elle, alors qu’elle était une toute jeune fille.

Elle portait des lunettes avec des verres grossissants, et une fin d’après-midi, alors qu’elle remontait des livres de poésie du dix-neuvième siècle sur la plus haute des étagères,  leur regard s’était croisé.

On ignore lequel des deux fut le plus apeuré.

Elle avait failli glisser de l’échelle bancale, et lui, il s’était coincé la queue entre « Les chants de Maldoror » et « L’après-midi d’un faune ». Lautréamont et Mallarmé n’étaient pas parmi ses auteurs favoris, il avait eu beaucoup de mal à les digérer.

Léon adorait les livres, surtout ceux avec des couvertures en cuir et fines dorures.

Angèle avait bien essayé de le faire fuir, en le poursuivant avec du Maupassant et du Flaubert. Elle avait même presque réussi à l’assommer avec un roman plus volumineux de Victor Hugo.

L’agilité de Léon avait eu raison des ressources littéraires d’Angèle.

Un soir, alors qu’elle rangeait les derniers livres qui trainaient sur une table, et tout en faisant de la place dans une rangée, elle toucha une matière aussi douce que du velours.

L’étagère n’étant pas bien haute, elle monta sur un tabouret et aperçut une masse informe, inerte, toute recroquevillée.

Elle hésita à la déplacer, puis reconnut le rat qui la narguait depuis plusieurs mois.

La créature semblait en piteux état. Elle avait les yeux mi-clos et le ventre ballonné.

Angèle aperçut un Walter Scott, « Le lai du dernier ménestrel » dont le cœur avait été déchiqueté.

La bibliothécaire prit le coupable entre deux livres et le plaça sur une table de lecture.

Elle se rendit ensuite dans le rayonnage contenant les encyclopédies et traités de médecine.

Elle parcourut rapidement les quelques pages traitant de l’indigestion.

Souffrant elle-même de l’estomac, elle avait dans son sac un flacon de bicarbonate de sodium.

Léon gémissait sur la table, il se tordait de douleur.

Angèle dilua la poudre dans l’eau, prit son mouchoir, le trempa dans le verre et fit couler goutte à goutte le liquide dans la bouche du petit animal.

Leur regard se croisa à nouveau, mais il n’y avait plus de peur, juste un peu d’inquiétude dans celui d’Angèle, et de la gratitude dans celui de Léon.

Elle aménagea dans le tiroir de son bureau, un petit espace et l’y installa.

Le lendemain matin, Léon avait quitté sa couche de fortune.

En fin de journée, Angèle l’entendit chicoter. Elle avait gardé les restes de son repas de midi, et les déposa sur la plus haute des étagères, où elle savait qu’il résidait.

Léon se régala de pain de mie et de fromage.

Jour après jour, Angèle lui installait un petit plateau, contenant ce mets qu’il s’était mis à apprécier, tant et si bien qu’il s’était désintéressé des livres.

Il ne les rongeait plus. Il attendait que son amie ferme la grande porte et l’éclairage des lampes des tables, pour la rejoindre sur son bureau.

Pendant qu’elle lui faisait la lecture, Léon s’empiffrait de nourriture plus terrestre.

Pour se rapprocher d’elle, il s’installa sur les étagères des livres pour enfants. Il avait une préférence pour les contes des frères Grimm, même si le « Joueur de Flûte de Hamelin », lui avait donné des cauchemars.

A présent la bibliothèque est fermée, mais dans un petit appartement du centre-ville, un vieux rat fait la lecture à une dame âgée, dont les verres de lunettes grossissants ne sont  plus d’aucune utilité.

M.H.- site contes d'ici et d'ailleurs
 Journalisée

TOUTES LES FORMES DE VIE


Car c’est la joie qui permet le détachement. Elle est cette plénitude qui compense largement les biens abandonnés.
    C’est encore la joie qui dilate l’être et se trouve à la source de l’Amour et de la charité pour toutes les formes de vie. 


Erik Sablé

L'AUTRE- CHRISTIAN BOBIN

Faire sans cesse l’effort de penser à qui est devant soi, lui porter une attention réelle, soutenue, ne pas oublier une seconde que celui ou celle avec qui tu parles vient d’ailleurs, que ses goûts, ses gestes, ses pensées ont été façonnés par une longue histoire, peuplée de beaucoup de choses et d’autres gens que tu ne connaîtras jamais. Te rappeler sans arrêt que celui ou celle que tu regardes ne te doit rien, n’est pas une partie de ton monde, il n’y a personne dans ton monde, pas même toi. 

Christian Bobin

samedi 3 mai 2014

SOURCIER DE MA SOIF

Murmure-moi,
puisatier de mon cœur,
sourcier de ma soif,
vivifie
ma poussière.
Que je tisse avec Toi
des mots simples
comme l’eau…

Catherine Marie de la  Trinité

jeudi 1 mai 2014

SULIVAN- ABECEDAIRE

Je ne regrette pas d'avoir appris Dieu dans ma jeunesse
comme on me l'a appris car c'est avec ce qu'on m'a été appris
que j'ai  trouvé ce qui ne m'était pas dit.
On se crée, on se défait à travers tout.
finalement on ne peut accuser personne sinon soi-même
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Les églises se sont en partie vidées
Mais la Parole est dehors
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Et cependant il est possible d'avoir part au royaume:
il existe une brèche irréductible, par où passe l'enfance
aussi universelle que la mort.
A chacun de la repérer
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La vie ruisselle.
Dieu veut d'abord que tu vives.
Cesse de te torturer de ne savoir faire comme les autres 
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Or il arrive que l'homme avide,actif,autoritaire
immergé dans les apparences sociales,
soit un débile du point de vue des sentiments.
Hélas dans le monde tel qu'il est, on ne réussit 
souvent qu'en sacrifiant la part la plus riche de soi.
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La "vie intérieure" n'a rien à voir avec l'idéalisme.
il s'agit de la "vie concrète" proche de la sensation
qui perçoit l'invisible dans le visible"
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Dieu contre les rassasiés, les riches
Les pauvres déjà riches de tout ce qu'ils convoitent.
et le riche qui découvre le mensonge et l'inanité de toute richesse
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Jésus avec le fils prodigue sur les chemins
avec le père qui attend sur la colline.
Avec les pauvres toujours jusqu'à ce que la convoitise 
leur tienne lieu de richesse,
juqu'à ce qu'ils appellent justice le goût du luxe et du confort

JEAN SULIVAN-ABECEDAIRE-GALLIMARD

AVE MARIE- MOIS DE MAI

Réjouis-toi Marie, comblée de grâce,
Le Seigneur est avec toi,
Tu es bénie entre toutes les femmes
Et Jésus, le fruit de ton sein est béni.
Sainte Marie, mère de Dieu,
Prie pour nous, pauvres pécheurs,
Maintenant et à l’heure de la mort.
Amen.

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