Nous pensons trop souvent que les institutions redeviendraient bonnes si elles étaient gouvernées par des gens qui pensent comme nous. Ainsi, le monde pourrait à nouveau marcher vers des lendemains qui, à défaut de chanter, pourraient tout au moins fredonner !
Finalement nous sommes obsédés par la question du pouvoir.
À l’heure où les medias se délectent des jeux d’influence en vue de l’élection d’un nouveau Pape, il est plus que jamais nécessaire de se souvenir que la vitalité de l’Église catholique ne viendra pas d’abord d’un Pape « sauveur suprême » mais de la prise de responsabilité de chaque croyant.
Bernard Ginisty www.garriguesetsentiers.org

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