Qui n’a pas été troublé par cette bonté foncière qui habite certains animaux au contact de l’homme, d’une bonté dont certains hommes, hélas, ne sont pas tous aussi pourvus ? Anthropomorphisme, projection de soi, diront certains. Et si nous étions à la veille d’élargir notre compréhension de la Création à la dimension de tout être vivant ? Et si, finalement, sans apporter d’autres réponses que d’affirmer la légitimité nouvelle de cette question, il fallait simplement accueillir la question de cette petite devant son chien, son chat comme un appel à la compréhension plus vaste d’une plus grande générosité de Dieu à l’égard de sa Création ?
Raphaël PINET

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