vendredi 21 septembre 2012

MERE TERESA

Je dis toujours que l'amour commence à la maison. Il y a d'abord la famille et ensuite votre ville. C'est facile de prétendre aimer les gens qui sont très loin, mais beaucoup moins facile d'aimer ceux qui vivent avec nous ou tout près de nous.

Je me méfie des grands projets impersonnels car seule chaque personne compte. Pour parvenir à aimer quelqu'un, il faut se rendre proche d'elle. Tout le monde a besoin d'amour. Chacun de nous a besoin de savoir qu'il compte pour les autres et qu'il a une valeur inestimable aux yeux de Dieu.
Le Christ a dit : « Aimez-vous les uns les autres comme je vous ai aimés. »
Il a dit aussi : « Ce que vous faites au plus petit de mes frères humains, c'est à moi que vous le faites » (Mt 25,40). C'est lui que nous aimons dans chaque pauvre, et chaque être humain sur la terre est pauvre de quelque chose.
Il a dit : « J'avais faim et vous m'avez rassasié. J'étais nu et vous m'avez vêtu » (Mt 25,35).
Je rappelle toujours à mes soeurs et à nos frères que notre journée est faite de vingt-quatre heures avec Jésus.
Bienheureuse Teresa de Calcutta (1910-1997), fondatrice des Sœurs Missionnaires de la Charité

A Simple Path (trad. Un Chemin tout simple, Plon
www.seraphim.over-blog.com


vendredi 14 septembre 2012

CHRISTIANE SINGER

Christiane  Singer
Car ce qui n'est pas, c'est toi et moi - séparés - et ce qui est, c'est tout ce qui nous relie, tout le champ fluctuant entre nos consciences, cette intensité, cette immensité que nous partageons, cette immensité tendue comme une vaste voilure entre Dieu, les choses et les êtres.

«À quel rivage veux-tu atteindre, ô mon cœur ? Réveille-toi ! » (Kabir).
Ce qui n'est pas, c'est l'océan et la terre - séparés - mais ce qui est, c'est la grève où ils se rencontrent, les tapis de sable qui roulent et déroulent sans se lasser leurs vagues, l'espace de leurs jeux violents et doux.
Ce qui n'est pas, c'est le pêcheur et sa barque - séparés - mais ce qui est, c'est la partance et le désir et le vent qui ensemble les fait voguer.
Les entités, les choses, les êtres n'existent pas ; ce qui existe, c'est le souffle qui les mêle et les soulève.
La description du Réel dans notre société est exactement l'inverse. N'existent que les choses et les êtres séparés, empaquetés sous vide et cellophane. Bien sûr, puisqu'il s'agit de vendre le plus de choses possibles au plus d'êtres séparés et d'entretenir l'illusion de la séparation et du manque.

Du bon usage des crises
Christiane Singer    http://seraphim.over-blog.com





lundi 10 septembre 2012

DIEU EST PRESENCE

Dieu est, Dieu est présence. Nous passons toute une vie à côté de cette évidence criante, car nous avons perdu le contact avec notre propre présence. Aussi, prendre conscience de toute présence, plus profondément, plus intensément que de coutume, dans une attention toute pure, au-delà des intérêts, des besoins, du plaisir comme du déplaisir, dans une sorte d’immédiateté nue, qu’il s’agisse d’une présence humaine ou de ce sentiment de la nature qui parfois nous gagne, nous rattache nécessairement à cette présence universelle qui fait l’être en son fond. Prendre conscience de Dieu, ce n’est pas penser mentalement à Dieu, mais d’abord prendre conscience de soi, de l’autre, du monde qui nous entoure, dans une sorte de transparence qui nous mène tout droit à la source, à la racine, à l’origine, à cette lumière une qui ­sous-tend et traverse toute chose.


Source : La Vie

DURCKHEIM

Dürckheim écrit : « L’être humain qui a trouvé son centre possède un jugement serein : il pèse ses mots, il sait déterminer ce qui est important et ce qui ne l’est pas.

La réalité lui apparaît telle qu’elle est et il peut la considérer calmement dans toutes ses intrications. L’expression japonaise Hara no aru hito, désigne l’être humain centré en son juste milieu ; il est calme et exempt de passion, non pas parce qu’il est insensible, mais parce que telle est la constitution intérieure qu’il s’est forgée. Constitution souple qui lui permet de faire face à n’importe quelle situation avec le plus grand naturel. Par contre, l’expression Hara no naï hito, désigne l’homme privé du calme nécessaire à la maîtrise. C’est l’homme étroitement structuré, rigide, mû uniquement par sa tête ou par son psychisme ; il s’avère inconsistant et irrésolu, il réagit par des coups de tête sans aucune direction préétablie ».

Durckheim

SILOUANE

TIENS TON ÂME EN ENFER ET NE DESESPERE PAS

 Silouane

lundi 3 septembre 2012

AMMA- LA FEMME

Et quel est l'ABC d'une femme? Quelle est la fibre intime de l'être d'une femme? Qu'est-ce qui constitue son existence? Ce sont ses qualités innées, les principes essentiels de l'amour maternel. Quel que soit le domaine dans lequel une femme choisit de travailler, elle ne devrait pas oublier les vertus que Dieu, que la nature lui ont gracieusement accordées. Une femme devrait accomplir chacun de ses actes en demeurant toujours fermement ancrée dans ces qualités. De même qu' A B C constitue le fondement de l'alphabet, la qualité de mère est la nature fondamentale d'une femme. Elle ne doit pas omettre cette part cruciale d'elle-même avant de s'engager dans une quelconque activité. L'énergie masculine peut être comparée à de l'eau stagnante. Il est difficile à l'homme de quitter un rôle pour se concentrer pleinement sur un autre.
C'est pour cette raison que la vie professionnelle est la vie familiale de bien des hommes finissent par s'entremêler. La plupart des hommes ne peuvent pas séparer les deux et leur relation avec leur femme et avec leurs enfants en pâtit. La plupart des femmes, en revanche, savent le faire. L'énergie féminine est fluide comme une rivière. C'est pourquoi il est facile à une femme d'être à la fois mère, épouse et une amie fidèle qui insuffle de la confiance à son mari. Elle possède un don spécial qui lui permet d'être le guide et le conseiller de toute la famille. Les femmes qui travaillent sont pleinement capables de réussir également leur vie professionnelle. La femme est la créatrice du genre humain. Elle est le premier gourou, le premier guide et mentor de l'humanité. Elle tient les rênes de l'intégrité et de l'unité de la famille, et de la société. I
l ne faut pas sous-estimer la responsabilité d'une mère quand il s'agit de l'influence qu'elle exerce sur ses enfants et de l'inspiration qu'elle leur apporte. Partout où vous voyez des êtres dotés d'une force immense, heureux, généreux, bienveillants et compréhensifs, vous trouverez généralement une mère admirable qui les a inspirés faisant d'eux ce qu'ils sont. Ce sont les mères qui sont le plus aptes à semer dans le mental des êtres humains les graines d'amour, de fraternité universelle et de patience. Même le lait maternel transmet à l'enfant les qualités intérieures de la mère. La mère comprend le coeur de son enfant, elle le nourrit de son amour et lui donne une approche positive de la vie...
La mère qui berce son bébé est aussi celle qui apporte au monde la lumière. Une femme qui a éveillé en elle l'amour maternel apporte le paradis sur terre où qu'elle soit.. Seule la femme peut créer un monde de paix et de joie. Une femme doit penser à ce qu'elle peut donner à la société plutôt qu'à ce qu'elle peut prendre. Cette attitude l'aidera certainement à progresser...

Donc plutôt que de rouiller en passant leur vie entière entre les quatre coins de leur cuisine, il serait bon que les femmes sortent pour partager avec les autres ce qu'elles ont à donner et atteindre les buts qu'elles ont dans la vie...
Cependant que vous soyez un homme ou une femme, votre véritable humanité ne se révèlera que quand les vertus féminines et masculines en vous seront en équilibre...
Si les femmes elles-mêmes se détournent du principe féminin, il en résultera l'échec absolu des femmes et de la société...
Le besoin réel du monde actuel, c'est que les femmes apportent tout ce qu'elles peuvent à la société, en développant aussi bien leur qualité de mère universelle que leur qualité masculine. Plus une femme s'identifie à sa nature intérieure de mère, plus elle s'éveille à cette Shakti ou pure énergie. Lorsque les femmes développeront cette puissance en elles, le monde commencera à écouter leurs voix avec une attention toujours plus soutenue....

Extrait Le futur de cette planète dépend des femmes (Allocution d'Amma aux NationsUnies)

Sites officiels concernant Amma :

http://www.amma.org/



DALAI LAMA

JE SUIS ARRIVE A LA CONCLUSION QUE LE PLUS IMPORTANTN N'EST PAS DE CROIRE OU NON DANS UNE RELIGION. L'ESSENTIEL EST D'ETRE BON.
POUR MOI LE BOUDDHISME DEMEURE LA VOIE SUPRËME CELLE QUI CORRESPOND LE MIEUX A MA PERSONNALITE.
CE QUI NE SIGNIFIE PAS QUE JE LA CONSIDERE COMME LA MEILLEURE RELIGION POUR TOUS, NI QUE JE JUGE NECESSAIRE QUE CHACUN CROIE

DALAI LAMA

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