Lors d'une épreuve, le piège le plus subtil vient de la souffrance occasionnée. . Parce que l'on peut s'enfermer dans la souffrance, s'en faire une sorte d'identité, l'utiliser pour se faire plaindre, pour accaparer l'attention,
l'exploiter à des fins même assez viles.
La souffrance fait courir à l'aventurier de l'âme le plus grave danger de cesser la quête, de se replier sur soi.
Pour ne pas stagner, pour ne pas sombrer, le combattant n'a de recours qu'en L'ESPERANCE qui n'a rien d'une vertu tranquille comme le rappelle Georges Bernanos "L'espérance est un risque à courir. C'est même le risque des risques.
Bréviaire du colimaçon Jacqueline Kelen p125
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