«Pourquoi on tire autant la gueule dans
ce bas monde?»
ce bas monde?»
La crise continue certes, la vie est dure bien sûr mais à quoi bon en rajouter une couche en sombrant dans un climat de morosité et d’agressivité? Etre à l’aise avec l’autre n’est pas si aisé. Demeurer joyeux dans la solitude, non plus.
Souvent, on trimbale ses complexes et
ses peurs au milieu de la foule.
On se fuit sans jamais se débarrasser de ce qui nous tourmente. Demeurer seul dans sa chambre, ne rien faire, relève d’une corvée voire carrément d’une insupportable torture pour qui n’a pas rejoint la paix au cœur de son être. De là à tenter d’échapper à soi-même en
ses peurs au milieu de la foule.
On se fuit sans jamais se débarrasser de ce qui nous tourmente. Demeurer seul dans sa chambre, ne rien faire, relève d’une corvée voire carrément d’une insupportable torture pour qui n’a pas rejoint la paix au cœur de son être. De là à tenter d’échapper à soi-même en
rampant vers les autres, il n’y a qu’un
pas et il est, ma foi, vite franchi.
Tant d’aigreur et tant de méchancetés trouvent leur origine dans l’incapacité quasi congénitale d’être, pour soi, de bonne compagnie. Il ne s’agit pas de se précipiter dans le culte de son petit ego mais plutôt d’apprendre à cohabiter paisiblement avec ses faiblesses,
pas et il est, ma foi, vite franchi.
Tant d’aigreur et tant de méchancetés trouvent leur origine dans l’incapacité quasi congénitale d’être, pour soi, de bonne compagnie. Il ne s’agit pas de se précipiter dans le culte de son petit ego mais plutôt d’apprendre à cohabiter paisiblement avec ses faiblesses,
cesser de craindre ses blessures pour
commencer à s’envisager avec un peu de douceur.
commencer à s’envisager avec un peu de douceur.
Alexandre Jollien
lien: phytospiritualité-acouphene
lien: phytospiritualité-acouphene
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