Vivre est ainsi qu’on ne peut démêler les jours d’ivraie et de bon grain.
On s’en va par ciel bleu on revient sous l’orage
Sans jamais être certain de retrouver les visages
Qu’on a laissés au matin
Il n’y a pas d’avancée sans épines de percée sans résistance
Il y a toujours quelque part une adversité qui oblige à de petites victoires
Comme celle de croire que la rudesse peut être doublée de tendresse
Pour qui consent à retrouver la mémoire de l’histoire
Où la Vie a joué si fin que la mort s’est retrouvée dehors
Hors non de nuire
Mais d’anéantir la lumière
Que tous porteront un jour
Comme ultime vêtement.
On s’en va par ciel bleu on revient sous l’orage
Sans jamais être certain de retrouver les visages
Qu’on a laissés au matin
Il n’y a pas d’avancée sans épines de percée sans résistance
Il y a toujours quelque part une adversité qui oblige à de petites victoires
Comme celle de croire que la rudesse peut être doublée de tendresse
Pour qui consent à retrouver la mémoire de l’histoire
Où la Vie a joué si fin que la mort s’est retrouvée dehors
Hors non de nuire
Mais d’anéantir la lumière
Que tous porteront un jour
Comme ultime vêtement.
Francine Carrillo, pasteur
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