Les mots de Jésus résonnaient en lui :
À moins de naître d’en haut nul ne peut voir le Royaume de Dieu !
C’était si lumineux ce que ces mots lui faisaient entrevoir !
L’Esprit avait pris soudain le visage de Celui qui venait de lui parler.
Il sentit alors que toutes les vérités éternelles jaillissaient en plénitude de ses paroles.
Des vérités apportées comme des bouffées d’air pur
Dans son existence polluée.
Elles lui ouvraient un univers inconnu de joie,
Et en même temps de service.
Il se sentit vidé de tout ce qui encombrait sa vie,
Et envahi d’amour, de paix, de pardon reçu,
profusion ;
Déjà prêt au don total de ce lui-même trop bien installé.
À moins de naître d’en haut nul ne peut voir le Royaume de Dieu !
C’était si lumineux ce que ces mots lui faisaient entrevoir !
L’Esprit avait pris soudain le visage de Celui qui venait de lui parler.
Il sentit alors que toutes les vérités éternelles jaillissaient en plénitude de ses paroles.
Des vérités apportées comme des bouffées d’air pur
Dans son existence polluée.
Elles lui ouvraient un univers inconnu de joie,
Et en même temps de service.
Il se sentit vidé de tout ce qui encombrait sa vie,
Et envahi d’amour, de paix, de pardon reçu,
profusion ;
Déjà prêt au don total de ce lui-même trop bien installé.
Il vint de nuit
Étouffant ses pas et tendant les bras.
Cet Esprit de Jésus
Il allait s’en saisir,
Il ne lui échapperait plus,
Il l’emporterait avec lui pour cette nouvelle naissance,
Pour ce nouveau départ.
Étouffant ses pas et tendant les bras.
Cet Esprit de Jésus
Il allait s’en saisir,
Il ne lui échapperait plus,
Il l’emporterait avec lui pour cette nouvelle naissance,
Pour ce nouveau départ.
Alors doucement, le jour se leva.
Source :Garrigues et sentiers
Christiane Guès
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire