Ce n 'est pas pour moi que je fais cette prière,
Mais pour ceux de ma race,
Qui tendent, du fond des ténèbres,
Leurs mains noires pour réclamer du pain et du vin.
Moi, mon cœur est un païen insensé,
Mes pieds ne sont jamais en repos,
Mais donne-leur des foyers pour les réchauffer
Dans des demeures au haut d'une colline. (extrait)
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire