Je souris à l’enfant qui vient sur mon chemin,
Je pense aussi à tous ceux qui ont faim,
Ceux qui loin dans le monde vivent dans la misère
Qui ont connu la guerre, qui ont perdu leur mère.
Je pense aussi à tous ceux qui ont faim,
Ceux qui loin dans le monde vivent dans la misère
Qui ont connu la guerre, qui ont perdu leur mère.
Si parfois mon sourire se mouille de pleurs,
En voyant de ce monde la profonde douleur,
Je veux sourire encore à travers mes pleurs,
Sourire à la vie, sourire à la mort.
En voyant de ce monde la profonde douleur,
Je veux sourire encore à travers mes pleurs,
Sourire à la vie, sourire à la mort.
Et quand le jour viendra où il fera très froid,
Où je ne laisserai plus la trace de mes pas,
Par le courant de la vie qui jamais ne s’arrête,
Me laisserai-je entraîner sans regarder derrière.
Où je ne laisserai plus la trace de mes pas,
Par le courant de la vie qui jamais ne s’arrête,
Me laisserai-je entraîner sans regarder derrière.
La peur alors ne fermera plus le chemin,
Mon cœur - tout grand - s’ouvrira enfin,
Je deviendrai alors le sourire de la terre,
De la fleur de l’oiseau de la pluie et du vent.
Mon cœur - tout grand - s’ouvrira enfin,
Je deviendrai alors le sourire de la terre,
De la fleur de l’oiseau de la pluie et du vent.
Et un jour, peut-être, dans un petit enfant,
Je rouvrirai les yeux aux merveilles de la vie,
Et un peu plus aimant, un peu plus souriant,
Je continuerai ce beau chemin.
Je rouvrirai les yeux aux merveilles de la vie,
Et un peu plus aimant, un peu plus souriant,
Je continuerai ce beau chemin.
Antoine Chiappetta
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