lundi 30 juillet 2012

PSAUME 138-139

Ame du monde, tu me sondes et me connais ;

Que je me lève ou m’asseye, tu le sais, tu perces de loin mes pensées ;
Que je marche ou me couche, tu le sens, mes chemins te sont tous familiers.
La parole n’est pas encore sur ma langue, et voici, Yahvé, tu la sais tout entière ;
Derrière et devant tu m’enserres, tu as mis sur moi ta main.
C’est toi qui m’as formé les reins, qui m’as tissé au ventre de ma mère ;
Je te rends grâce pour tant de prodiges merveille que je suis, merveille que tes œuvres.
Mon âme, tu la connaissais bien, Mes os n’étaient point cachés de toi, quand je fus façonné dans le secret, brodé au profond de la terre.
Mon embryon, tes yeux le voyaient ;
Sur ton livre, ils sont tous inscrits les jours qui ont été fixés, et chacun d’eux y figure.
Sonde-moi, ô Dieu, connais mon cœur, scrute-moi, connais mon souci…
Psaume 138-139

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