mardi 31 décembre 2013

dimanche 29 décembre 2013

QUAND VOUS ME CHERCHEREZ


Quand vous « me » chercherez, cherchez-« moi »

dans la joie, car « je suis »

l’habitant du monde de la joie.

mystique soufi

samedi 28 décembre 2013

Phytospiritualité: La vie universelle avec Hubert Reeves

Phytospiritualité: La vie universelle avec Hubert Reeves: Un petit montage associant deux émissions pour appréhender l'univers d'Hubert Reeves en entier...

PSAUME 37

fresque Noël

Fais de l'Éternel tes délices, Et il te donnera ce que ton coeur désire.
                                       Psaume 37:4 

jeudi 26 décembre 2013

COMBIEN D'HOMMES...

Combien d'hommes se perdent par leur vaine science dans le siècle, et n'ont point souci du service de Dieu ! Et parce qu'ils aiment mieux être grands qu'être humbles, ils s'évanouissent dans leurs pensées (Epître aux Romains 1, 21)

Imitation de Jésus Christ

Grégoire et Jaroussky : La prière

VENIR AU MONDE

Il est dit que venir au monde, c’est emprunter un sentier singulier qui mène du monde invisible au monde visible. Car tout enfant qui naît n’est pas le produit du hasard ; il est indubitablement l’envoyé des ancêtres. Il est leur messager, il est leur parole. L’enfant est une parole : parole de création, de procréation, de reproduction, de relais d’une génération à une autre. Parole sur laquelle s’est inscrit un corps, le corps de l’humain à la ressemblance des humains. 

Il est dit aussi que l’enfant n’est pas la simple graine biologique issue de l’union d’un spermatozoïde et d’un ovule ; cette graine est avant tout le symbole d’une bénédiction, un don de la providence et des ancêtres. Car l’enfant qui recourt au monde jamais n’oublie son chemin, dit-on. Et les parents à leur tour ne doivent pas oublier qu’ils ne sont que les simples intermédiaires missionnés pour accompagner dans le bonheur et l’harmonie ce corps d’homme dans la traversée des sentiers de la vie. Voilà pourquoi, en Afrique noire, l’enfant n’est jamais considéré comme n’appartenant qu’à ses seuls parents. Il est un lien, il est la richesse collective de la communauté tout entière, qui doit veiller à sa protection et à son éducation. 

Gabriel Oukoundji  -lien phytospiritualité

PAPE FRANCOIS- LA FOI

 "La lumière de la foi possède un caractère singulier, étant capable d’éclairer toute l’existence de l’homme. Pour qu’une lumière soit aussi puissante, elle ne peut pas provenir de nous-mêmes, elle doit venir d’une source plus originaire, elle doit venir, en définitive, de Dieu. La foi naît de la rencontre avec le Dieu vivant, qui nous appelle et nous révèle son amour, un amour qui nous précède et sur lequel nous pouvons nous appuyer pour être solides et construire notre vie. Transformés par cet amour, nous recevons des yeux nouveaux, nous faisons l’expérience qu’en lui se trouve une grande promesse de plénitude et le regard de l’avenir s’ouvre à nous." 

Pape François

Zaz - Si (clip officiel)

jeudi 19 décembre 2013

IL S'EST ABAISSE LUI-MÊME JUSQU'A LA CONDITION HUMAINE

Bien qu'il soit Dieu, il n'a pas estimé devoir garder jalousement son égalité avec Dieu, mais il s'est abaissé lui-même jusqu'à prendre la condition d'esclave » (Ph 2,6-7). 
Il a pris nos faiblesses, il a porté nos souffrances, il a été meurtri pour nous afin de nous sauver par ses blessures, il nous a rachetés de la malédiction en se faisant malédiction pour nous (Is 53,4-5; Ga 3,13) ; il a souffert la mort la plus infamante pour nous conduire à la vie de la gloire.
Et il ne lui a pas suffi de rendre à la vie ceux qui étaient dans la mort, il les a revêtus de la dignité divine et leur a préparé dans le repos éternel un bonheur qui dépasse toute imagination humaine. 
Que rendrons-nous donc au Seigneur pour tout ce qu'il nous a donné 
Il est si bon qu'il ne demande rien en compensation de ses bienfaits : il se contente d'être aimé. 
Saint Basile (v. 330-379), moine et évêque de Césarée en Cappadoce, docteur de l'Église 
Grandes Règles monastiques, § 2 (trad. Lèbe, Maredsous 1969, p. 52-54) 

www.seraphim-marc-elie.fr (oveblog)


mercredi 18 décembre 2013

LE VERBE S'EST FAIT FRERE- SAINT SYMEON LE NOUVEAU THEOLOGIEN

"Christ tu es de notre race par la chair,
nous de la tienne par la divinité,
puisque en prenant notre chair
 tu nous as donné ton  Esprit divin.
De chacun tu fais ta maison
et tu habites en nous
et tu deviens notre maison à tous,
et en toi nous habitons.
Chacun d'entre nous,ô Sauveur,
est tout entier  avec toi"

Hymne 15- Saint Symeon le nouveau théologien

lundi 16 décembre 2013

NOËL: DIEU EST LA POUR TOUS

peinture Françoise Burtz
« Aujourd’hui, à cause de Noël, Dieu est là pour tous. Il n’est pas nécessaire d’être mystique ou intelligent. Dieu est homme. Il n’est plus exigé de monter pour l’atteindre, il est descendu parmi nous. Il est là pour tous, non plus pour un peuple, mais pour toutes les nations. C’est là un des ferments révolutionnaires de l’Évangile. (...) Aussi il se ferait menteur celui qui, portant le nom de chrétien, demeurerait l’homme d’un groupe élu, d’une secte, d’une caste » 4

Frère Roger de Taizé

L'ISLAMOPHOBIE- NE PAS SE VOILER LA FACE

Certains s'étonnent qu'on puisse avoir peur de l'Islam, "religion de paix". Indépendamment de l'inquiétude provoquée par les exactions des djihadistes, qui ne relève pas de cette réflexion, il faut pointer les petits heurts de la vie quotidienne. Avec le port du voile, on dispose d'un exemple symptomatique. C'est un constat historico-sociologique élémentaire que l'autre, l'étranger, le différent fait peur quand il présente un aspect inattendu ou choquant. Les hippies barbus et bariolés ont naguère inquiété bourgeois et paysans. Dans l'entre-deux-guerres, tout enfant, je me souviens des sentiments contradictoires que provoquait la rencontre des malheureux "gueules cassées" de la guerre 14/18 : compassion devant leur souffrance, mais aussi dégoût parfois, peur souvent. Ça n'a rien d'une "phobie", c'est une réaction épidermique irraisonnée comme celle des enfants devant l'inquiétante silhouette de Belphégor dans les années 60.
Question plus grave : si l'on acceptait cette revendication, qui émane davantage des "islamistes" que des simples croyants, ne mettrions-nous pas le doigt dans l'engrenage d'autres exigences, de plus en plus proches de la charia, qui elle aussi fait peur ?
On connaît la tactique qui consiste à grignoter des droits hors du droit commun pour imposer progressivement une autre société que celle dans laquelle nous vivons. Je suis de ceux qui ne considèrent pas notre mode de vie comme l'idéal humaniste, mais enfin c'est le nôtre.
On souhaiterait que des personnes venus d'ailleurs, avec des mœurs respectables mais différentes, s'accommodent du pays d'accueil. Je rejette la brutalité des nationalistes extrémistes de droite disant « si ça ne vous plaît pas repartez ailleurs », mais tout ce qui heurte la sensibilité des Français "de souche" (souvent d'origine espagnole, italienne, polonaise, etc., mais parfaitement intégrés) ne fait qu'alimenter ce qu'on appelle sommairement l'islamophobie.

Marc Delîle
EXTRAIT D 'UN DOSSIER DE GARRIGUES ET SENTIERS-voir blog: les liens

RILKE...NOUS SOMMES DES ABEILLES


Ce que j'ai découvert c'est que la vie est encadrée par l'invisible, que les anges vivent dans cet invisible. Et que notre tâche à nous les hommes est de transformer le visible en invisible. Nous sommes des abeilles qui butinons l'or du visible pour en faire la trame de l'invisible. » 
Rilke

LA VIE DANS SA PROFONDEUR EST ESPRIT-PHILIPPE MAC LEOD


Car la Bonne Nouvelle qu’il nous faut désormais proclamer à tous les hommes, c’est que la vie, dans sa profondeur, est esprit, et qu’il y a au fond de tout être cette réserve insoupçonnée de perfection, au sens de plénitude, d’accomplissement, d’achèvement, là où l’absolu prend toute sa dimension. Là où l’idée de vérité s’éclaire et se précise, où il ne fait plus aucun doute que quelque chose existe au-delà de l’immédiateté du visible. Même s’il reste difficile à rejoindre, à exprimer, comme souvent ce sentiment mêlé d’impuissance et d’exaltation qui nous envahit devant la beauté du monde. Mais nous savons que ce quelque chose est là, qu’il est nous, que le Royaume est en nous.

Philippe Mac Leod

vendredi 13 décembre 2013

LA NATIVITE DE JESUS

fresque catalane romane sur un devant d'autel

Quand nous tenons notre évangile dans nos mains,
nous devrions penser qu'en Lui habite le VERBE
QUI VEUT FAIRE CHAIR EN NOUS,
s'emparer de nous, pour que, son coeur greffé 
sur le nôtre,son Esprit branché sur notre esprit,
nous recommencions sa vie dans un autre lieu,
un autre temps, une autre société humaine

Madeline Delbrêl notre écrite vers 1946
éditée dans" La joie de croire"

mardi 10 décembre 2013

HISTOIRE DU PAPA NOËL

Je vais vous conter la belle histoire de Pirouette et l’Hiver.

«Connaissez-vous Pirouette ? C’est une petite fille, une marionnette, aux yeux noisette, au nez en trompette, des tâches de rousseur plein les joues et de longs cheveux roux.


On l’appelle Pirouette, car toujours elle danse et fait des pirouettes.

C’est une petite fille très joyeuse, comme vous, et pourtant Pirouette habite un drôle de pays.

Un pays où le temps n’existe pas. Il ne s’est jamais installé ici.

Ici, c’est un pays où il n’y a pas de saison : pas d’automne, pas d’hiver, pas de printemps, pas d’été.

Jamais le vent ne souffle, ni la pluie, ni la neige ne tombent. Le ciel n’a pas de couleur.

Parfois des nuages passent, doucement dans le ciel, mais sans déranger le temps.

On peut porter tous les jours les mêmes habits et les arbres ont toujours des fruits, beaux et bons. Quand on cueille une pomme, hop ! une autre pomme pousse immédiatement, comme par enchantement, toute aussi bonne et toute aussi juteuse.

Voilà le beau pays de Pirouette où rien ne semblait devoir changer.

Et pourtant, un jour, Pirouette trouve un livre à la bibliothèque, et elle lit ….

«L’histoire du Papa Noël »

Le Papa Noël habite loin, loin, dans un pays où il fait très froid. Toute l’année, avec ses lutins, il fabrique des jouets, pour tous les enfants du monde. Puis, le soir de Noël, il charge tous ces jouets dans son traîneau et il les apporte aux enfants endormis… »

Cà alors ! s’écrit Pirouette, mais le Papa Noël n’est jamais venu ici.

Alors Pirouette se met à rêver. Comme elle aimerait que le Papa Noël lui apporte des jouets. Mais pour cela, il faudrait que l’hiver s’installe dans son pays et fasse tomber de la belle neige, bien blanche.

Alors Pirouette appelle l’Hiver : Hiver où es-tu ? Hiver que fais-tu ?

Tout d’abord, ce ne fut qu’un nuage, une brume qui s’enroula au pied du lit de Pirouette. Puis un long ruban couleur arc en ciel déploya des bras, noueux comme des branches. Un corps de terre où miroitaient des feuilles, des mers et des forêt s’éleva et tout en haut un visage rayonnait, tel un soleil.
Pirouette éberluée demande d’une voix tremblante : « mais qui es-tu ? »

-Tu m’as appelé, je suis le Temps. J’ai la tête dans les étoiles et les pieds dans les profondeurs de la terre. Tu as demandé l’Hiver, alors me voilà. C’est moi qui fait les saisons. Je suis donc très important ; tout le monde parle de moi :

«Bonjour ! Quel temps fait-il ?
Quel beau temps !
Je n’aurai jamais le temps !
Quel temps de chien ! »

Même à la télé, on essaie de savoir le temps qu’il fera. Mais je suis imprévisible ! je fais ce qui me plait. Je souffle parfois le chaud, parfois le froid. Cela dépend de mon humeur. Bref, je fais la pluie et le beau temps !

-Mais, dit Pirouette intimidée, j’avais demandé juste l’hiver !

-Ah, Ah, Ah ! s’esclaffe le temps, mais l’hiver tout seul n’existe pas ! il lui faut l’automne qui fait tomber les feuilles des arbres. Il lui faut le printemps pour réchauffer la terre que l’hiver a glacée, mes saisons ont besoin les unes des autres. Ensemble, elles se donnent la main et forment une ronde éternelle.

-Mais pourquoi donc veux-tu l’hiver ?

-Je voudrais qu’il fasse froid pour que le Papa Noël passe cette nuit. Mais tu le connais toi, le Papa Noël ? ».

-Bien sûr que je le connais ! Nous travaillons ensemble depuis bien longtemps. Je peux lui demander de venir ici, mais je dois d’abord installer mes saisons. Et que me donneras-tu en échange ?

-Je n’ai pas grand chose. Je suis une toute petite fille. Et qu’est-ce qui pourrait te faire plaisir, à toi qui est si grand, si puissant ?

-J’aime quand les enfants chantent des chansons qui parlent de moi, ou bien me disent des poésies. Car vois-tu, je suis un peu poète.

Alors Pirouette réfléchit et se met à chanter : « Vive le vent, vive le vent, vive le vent d’hiver, qui s’en va soufflant crachant dans les grands sapins verts…. »

A la fin de chanson, le Temps charmé lui dit : « merci Petite fille. Tu m’as fait grand plaisir. Maintenant, tu vas aller te coucher, car il est tard. Pose tes chaussures au pied de ton lit et ferme tes yeux. Fais de beaux rêves et si tu rêves du Papa Noël, peut être il passera cette nuit… ».


Et le temps s’enfuit, laissant l’hiver derrière lui. La neige se mit à tomber et au milieu de la nuit, on entendit au loin une musique qui s’approchait. C’était les clochettes du traîneau du Papa Noël.

Depuis ce jour là, le temps s’est installé au pays de Pirouette et le Papa Noël passe chaque année.

Merci Pirouette d’avoir charmé le temps!
 Journalisée
http://www.acrostiches.com/jeu-de-lettres/forum/index.php/topic,8307.420.html

lundi 9 décembre 2013

LE RIDEAU ROUGE DE CHRISTIAN BOBIN- A ECOUTER

Phytospiritualité: Voici un bloc d'or pur grâce à Christian Bobin: Comme Christian Bobin, mettons-nous à l'écoute des mots et des battements de coeur... Un magnifique lever de rideau rouge (rsr -...


JEAN YVES LELOUP- "RETOURNE TON COEUR"

Nous sommes à l’époque des néons et des couvertures électriques, des lumières froides et des chaleurs opaques. On ne se réchauffe pas auprès d’un néon électrique, on ne s’éclaire pas auprès d’une couverture chauffante. Nous avons perdu la flamme qui est à la fois lumière et chaleur. 
 « Redire ad cor » - « retourne à ton cœur », la parole du prophète est plus que jamais d’actualité...


JEAN YVES LELOUP

A LA SOURCE DE MA VIE

L'Eternel m'a créée la première de ses oeuvres,
 Avant ses oeuvres les plus anciennes. 
J'ai été établie depuis l'éternité, 

Dès le commencement, avant l'origine de la terre. 
Je fus enfantée quand il n'y avait point d'abîmes,

 Point de sources chargées d'eaux; 
Avant que les montagnes soient affermies, Avant que les collines existent, je fus enfantée; 
Il n'avait encore fait ni la terre, ni les campagnes, Ni le premier atome de la poussière du monde. 
Lorsqu'il disposa les cieux, j'étais là;

 Lorsqu'il traça un cercle à la surface de l'abîme, 
Lorsqu'il fixa les nuages en haut, 

Et que les sources de l'abîme jaillirent avec force, 
Lorsqu'il donna une limite à la mer,

 Pour que les eaux n'en franchissent pas les bords, Lorsqu'il posa les fondements de la terre, 
J'étais à l'oeuvre auprès de lui, Et je faisais tous les jours ses délices, Jouant sans cesse en sa présence,


PARABOLES JUIVES

ON DIRAIT DU SAINT PAUL- TEXTE HINDOUISTE

Tout entier purifié par l'intelligence, maîtrisant le mental avec

détermination, renonçant aux objets qui font le plaisir des sens,

 affranchi et de l'attachement et de l'aversion,

 l'homme qui vit en un lieu retiré, qui mange peu et maîtrise le corps

 et la langue, qui toujours demeure en contemplation, détaché,

 sans faux ego, sans vaine puissance ou vaine gloire,

 sans convoitise ni colère, qui se ferme aux choses matérielles,

 libre de tout sentiment de possession, serein,

 - cet homme se trouve certes élevé au niveau de la réalisation spirituelle.

BHAGAVAD  GITA - HINDOUISME

L'AVENT: NOTRE MARCHE


FAIS COMME TU PEUX...
MARCHE SELON TA FORCE ET MOI JE VIENDRAI
ET JE FERAI LE RESTE DU CHEMIN
POUR ARRIVER JUSQU'A TOI

Parabole juive des cents jours

samedi 7 décembre 2013

NELSON MANDELA

Ils ont voulu me faire taire, mais ils n'ont pas pu.
Ils m'ont emprisonné, mais j'ai simplement attendu.
Ils m'ont pris pour un dieu mais je suis resté simple.
Ils m'ont presque enterré vivant mais j'en ai souri. 
Ma force, c'est tout l'amour que j'ai pour eux,

Ces femmes et ces hommes pour qui j'ai tout donné.
Et si c'était à refaire, je le referai." 

Madiba 

SAINT NICOLAS DE MYRE

Saint Nicolas, ton crédit d'âge en âge,
a fait pleuvoir tes bienfaits souverains.
Viens, couvre encor' de ton doux patronage
tes vieux amis les enfants des Lorrains.

1. De tes bienfaits, célébrant la mémoire,
nous voulons tous à jamais te bénir.
Ce sanctuaire est empreint de ta gloire,
il en redit l'immortel souvenir,

2. Ô Saint Patron, en tous lieux on t'honore,
tu sais du ciel apaiser le courroux.
Sur l'océan, le matelot t'implore,
et le captif te supplie à genoux.

3. Viens nous bénir de ta main paternelle,
garde en nos cœurs le dépôt de la foi.
Pour mériter la couronne éternelle,
ô Saint Patron, nous espérons en toi.

4. De ta famille, exauce la prière,
et sois toujours protecteur de ces lieux.
Et tu verras toujours, sous ta bannière,
marcher ici des enfants généreux.

dimanche 1 décembre 2013

SOYEZ SON CRI


En toute vie le silence dit Dieu

Tout ce qui est tressaille d’être à Lui.

Soyez la voix du silence en travail,

couvez la vie, c’est elle qui loue Dieu.
Pas un seul mot,

et pourtant c’est son Nom

que tout secrète et presse de chanter;

n’avez-vous pas

un monde immense en vous ?

Soyez son cri et vous aurez tout dit.

Il suffit d’être, et vous entendrez

rendre la grâce d’être et de bénir;

vous serez pris dans l’hymne de l’univers,

vous avez tout en vous pour adorer

car vous avez l’hiver et le printemps,

vous êtes l’arbre en sommeil et en fleurs

jouez pour Dieu des branches et du vent,

jouez pour Dieu des racines cachées.

Patrice de la Tours des Pins

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