Si notre vie est si bourrée par nos devoirs que les pauses y soient impossibles, si nos enfants, un mari, la maison, le travail envahissent presque tout, elle veut que nous croyions assez en elle, que nous la respections assez pour savoir que sa force divine lui fera toujours de la place. Alors nous la verrons luire pendant que nous marchons dans la rue, pendant que nous façonnons notre travail, pendant que nous épluchons nos légumes, que nous attendons la communication téléphonique, que nous balayons nos parquets, nous la verrons luire entre deux phrases de notre prochain, entre deux lettres à écrire, quand nous nous réveillons et quand nous nous endormons.
C’est qu’elle aura trouvé sa place, un cœur d’homme pauvre et chaud pour la recevoir.
http://vivrecestlechrist.hautetfort.com/
Madeleine Delbrel- Nous autres gens des rues
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