vendredi 21 mars 2014
JEAN SULIVAN
Et si une part de votre activité consiste à aider autrui,
demandez-vous si vous êtes présents à vous-mêmes.
Car c'est moins par ce que l'on dit ou fait
que l'on peut secourir, QUE PARCE QUE L'ON EST,
c'est à dire la qualité de l'accord que l'on a avec soi-même
L'aide à autrui est avant tout attention extrême à sa singularité.
Comment être attentif si l'on est inquiet ou déchiré,
sans cesse occupé de vanité ou d'amour-propre,
en utilisant autrui de bonne foi ou non, à son profit?
Jean Sulivan- Ibidem p 176-177
Inscription à :
Publier les commentaires (Atom)
Membres
Archives du blog
-
▼
2014
(320)
-
▼
mars
(25)
- LES BEATITUDES ACTUALISEES
- BIENHEUREUX LES MENDIANTS DE L'ESPRIT
- QUI CHANTE SON MAL ENCHANTE...
- LE CARÊME: "RADIEUSE TRISTESSE"
- LE MARIAGE- KHALIL GIBRAN
- JEAN SULIVAN-2
- JEAN SULIVAN
- LA SOLITUDE
- DEVANT LA SOUFFRANCE
- S'AIMER SOI-MÊME- ALAIN HOUZIAUX
- EVANGILE DE THOMAS- LOGION 75
- ALEXANDRE JOLLIEN HANDICAPE-LE BONHEUR- LA JOIE
- NE T'ARRËTE PAS
- JE CHERCHE LA GRANDE DOUCEUR
- LES MERES
- LA CONSCIENCE
- LE STRESS
- L'apocalypse intérieure, révélation personnelle ?
- L'AGE N'EST QU'UN SIMULACRE
- LA GRÂCE
- QUEL EST LE JEÛNE QUI ME PLAÎT?
- DEBUT DU CARÊME
- TEILHARD DE CHARDIN-PRIERE
- AIMER- UNE LIBERTE ET UN MYSTERE
- CHRISTIAN BOBIN
-
▼
mars
(25)
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire