Il est bon de rêver sur les traces de ses disparus.
Les traces de leurs blessures, de leur tendresses
et de leur rires, les traces de leur combats inachevés
Et de laisser leurs traces faire leur chemin en nous.
Sans ëtre fasciné, sans se laisser captiver.
En restant capable de s'arracher.
DE REVER POUR MARCHER A SON TOUR,
POUR LUTTER, POUR CONTINUER
Gabriel Ringlet
Un peu de mort sur le visage p 105
Desclée de Brouwer
Littérature ouverte
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