O Jérusalem si tu savais t’aimer toi-même, aimer toutes les différences, toutes les charognes, tous les trésors, toutes les cendres qui hantent tes murs ; sous le poids énorme des siècles tu découvrirais le poids de ton âme, infiniment jeune et frais, infiniment léger, comme le Dieu que tu oublies de célébrer en pensant le connaître et le posséder.
Jean Yves Leloup-Le dictionnaire amoureux de Jérusalem-Plon 2010
Inscription à :
Publier les commentaires (Atom)
Membres
Archives du blog
-
▼
2011
(377)
-
▼
mars
(30)
- LA ROSE EN NOUS
- UPANISHAD - "LE VERBE ECLAIRE TOUT HOMME EN VENANT...
- JEAN 3,8-LE VENT ET L'ESPRIT
- MAYA-LE SOLEIL ET LE CHAT
- MON COEUR...
- MAURICE CAREME 2
- POEME : MAURICE CARÊME
- IL YA PLUS DE PLAISIR....
- ETRE GRAND...
- LE NUCLEAIRE: LA BOITE DE PANDORE
- MARIE DE HENNEZEL-LA FINITUDE
- LES PROPHETES DE MALHEURS
- LA CHANCE DES ECHECS
- LA SOURCE DE LA DELINQUANCE
- TERRE: PLANETE BLEUE-HUBERT REEVES
- DETERIORISATION DE NOTRE PLANETE
- A QUOI JOUE-T-IL?
- CHAQUE JOUR...
- UN FEU ARDENT... LE CARÊME.
- LE VERITABLE SALUT
- LE CLAPOTIS DE L'EAU
- Ô JERUSALEM
- UN ETRE SANS COEUR
- L'AMOUR DU POUVOIR
- KARL RAHNER
- LE DISCOURS D'UN ROI.
- COLETTE NYS MAZURE-RECONNAISSANCE
- NOUS IRONS TOUS AU PARADIS
- QUAND L'EPREUVE FAIT RAGE
- DES HOMMES ET DES DIEUX
-
▼
mars
(30)
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire