Le procès de Jésus est un procès au nom de Dieu. Comme celui de El Hallaj,
condamné à Bagdad en 922, après un procès de 8 années : 500 coups de fouets,
les mains et les pieds tranchés, la croix, la décapitation et finalement une
couverture arrosée de pétrole, enflammée et les cendres dispersées...
Un tel saint ne peut être oublié. Le pardon n’est pas la propriété des chrétiens,
permettez moi de citer ce musulman :
« Ceux-là, qui sont tes serviteurs, se sont réunis pour me tuer par zèle pour ton culte et
par désir de se rapprocher de Toi.
Pardonne-leur.
Car si tu leur avais dévoilé ce que tu m'as dévoilé, ils n'eussent pas agi comme ils ont
agi. Et si tu avais dérobé à mes regards ce que tu as dérobé aux leurs, je ne subirais pas
l'épreuve que je subis.
Louange à Toi pour ce que Tu décides ! »
Frère Michel Van Aerde op.
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